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« Lorsque vous dites que vous êtes content ou que vous êtes heureux, vous n’êtes pas heureux, vous n’êtes pas content si vous faites de ce bonheur un objet, si vous le convertissez en un état dans lequel on entre et on sort . Quand il y a satisfaction, quand il y a félicité, celles-ci ne se laissent pas objectiver parce qu’elles n’ont pas de cause. Dans cet état de félicité, tout ce qui apparaît se trouve dans la félicité ; c’est pourquoi il n’y a pas un témoin qui peut dire : « je suis heureux ». De même quand il ya méditation, il n’y a personne qui médite. Le méditant est seulement un concept, un objet. C’est ainsi que la méditation, la félicité ne sont pas duelles, elles ne sont pas compensées dans la dualité sujet-objet. Vous connaissez ces moments où vous êtes dans un état de félicité, mais vous voulez les objectiver. Vous devez vous rendre compte que vous voulez les objectiver. Dans la méditation, si tant est qu’on peut en dire quelque chose, il n’y a qu’un courant d’affection, un courant d’amour, et il n’y a personne qui médite. Dans la méditation il n’y a pas de place pour la personne. La personne est une fraction. Pourquoi voulez-vous vous fractionner alors que vous avez la Totalité à votre disposition ? Nous pouvons commencer le dialogue. » Jean Klein : Présence de la Beauté, p.155 (Ed. Almora)
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