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L’esprit doit arriver à un état de silence, complètement vide de peur, de désir et de toutes les images. Cela ne peut pas être provoqué par la suppression, mais en observant chaque sentiment et bien que sans qualification, condamnation, jugement ou comparaison. Si la vigilance non motivée doit opérer, la censure doit disparaître. Il doit simplement y avoir un regard calme sur ce qui compose l’esprit. En découvrant les faits tels qu’ils sont, l’agitation est éliminée, le mouvement des pensées devient lent et nous pouvons observer chaque pensée, sa cause et son contenu au fur et à mesure qu’elle se produit. Nous devenons conscients de chaque pensée dans son intégralité et dans cette totalité il ne peut y avoir de conflit. Il ne reste alors que la vigilance, que le silence dans lequel il n’y a ni observateur ni observé. Alors ne forcez pas votre esprit. Observez simplement ses différents mouvements comme vous regarderiez des oiseaux en vol. Dans cet aspect épuré, toutes vos expériences surgissent et se déroulent. Car la vision non motivée génère non seulement une énergie formidable, mais libère toutes les tensions, toutes les différentes couches d’inhibitions. Vous voyez la totalité de vous-même. Tout observer avec une pleine attention devient un mode de vie, un retour à votre être méditatif originel et naturel. — Jean Klein – The Ease of Being (p. 28) L’esprit doit arriver à un état de silence, complètement vide de peur, de désir et de toutes les images. Cela ne peut pas être provoqué par la suppression, mais en observant chaque sentiment et bien que sans qualification, condamnation, jugement ou comparaison. Si la vigilance non motivée doit opérer, la censure doit disparaître. Il doit simplement y avoir un regard calme sur ce qui compose l’esprit. En découvrant les faits tels qu’ils sont, l’agitation est éliminée, le mouvement des pensées devient lent et nous pouvons observer chaque pensée, sa cause et son contenu au fur et à mesure qu’elle se produit. Nous devenons conscients de chaque pensée dans son intégralité et dans cette totalité il ne peut y avoir de conflit. Il ne reste alors que la vigilance, que le silence dans lequel il n’y a ni observateur ni observé. Alors ne forcez pas votre esprit. Observez simplement ses différents mouvements comme vous regardez des oiseaux en vol. Dans cet aspect épuré, toutes vos expériences surgissent et se déroulent. Car la vision non motivée a généré non seulement une énergie formidable, mais libère toutes les tensions, toutes les différentes couches d’inhibitions. Vous voyez la totalité de vous-même. Tout observer avec une pleine attention devient un mode de vie, un retour à votre être méditatif original et naturel. — Jean Klein – La facilité d’être (p. 28) Œuvre de Monique Joie de Vivre
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