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Jean communiquait avec moi principalement par contact visuel. C’était tellement intime et significatif. Je comprenais ou recevais bien mieux cette forme de transmission que le discours sur la non-dualité, l’écoute, le nouménal, etc. Son sourire, son regard et son rire composaient « une enchilada entière ». Comme le dit le proverbe, « un regard en dit long ». Et il confirmait que j’avais reçu ce que son regard véhiculait… avec un petit rire et une petite inclinaison et secousse de la tête. Très attachant. Ce n’est en fait que maintenant, des années après sa mort, que son enseignement verbal/écrit prend tout son sens.
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