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À l’écoute de Jean Klein. Par Nita Klein Q : Monsieur je ne comprend pas ce que vous dites. JK : c’est mieux si vous ne comprenez pas. Tout d’abord, oubliez l’enseignant et l’enseigné. Qu’y aurait-il -il à professer ? Une science, une technique, bien sûr, mais comment apprendre ce que nous sommes foncièrement. L’instructeur ne se prend pas plus comme tel qu’il voit en face de lui un ignorant, et dans cette absence de référence nait une relation d’amour, d’intelligence, sans séparation d’aucune sorte. En réalité, on ne peut rien transmettre, les mots prononcés de l’être lui-même, ils n’ont fait que percuter la compréhension de l’élève. La vérité se transmet uniquement par la vérité, on ne peut la transférer, l’infuser… devenez votre propre maître, apprenez à l’être. Videz l’attente de ce qui pourrait être espéré, tout le possible est en vous, attendez très simplement jusqu’à ce que cela vous saisisse. Regardez, interrogez votre nature primordiale, vous constatez sa perfection initiale, et cette beauté vous permet de voir à l’extérieur tout ce qui est beau. Cette harmonie vous stimule, vous rend attentif, ce n’est pas une observation, simplement une contemplation sur le plan de la vision, de l’audition et du toucher. Ce qui fixe votre attention, c’est l’amour de la beauté – c’est l’amour pour la beauté qui crée l’unité. On ne peut l’enseigner, il faut le sentir en vous-même. Chapitre VII – Fin de la Page 68. Page 69.
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